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Les Enfants d'Azar, couverture-petite.jp

Une autre publication pour l'auteure Lise Tapp

Article dans l'Avantage Gaspésien, par Stéphane Quintin

Une résidente de Matane-sur-Mer, Lise Tapp, s’apprête à vivre un mois de septembre riche en émotions littéraires. Finaliste du prix France-Acadie pour son roman « La maison du vieux Tom Â», dont le lauréat devrait être annoncé au courant du mois, elle présentera par ailleurs sa deuxième publication à Matane, le 27 septembre, un conte fantastique intitulé « Les enfants d’Azar Â».

Attirée par les mots dès son enfance, lorsqu’elle ouvrait le journal sur la chaise à bascule de son père, avant même d’avoir appris à lire, la Matanaise Lise Tapp, revenue dans la région au début des années 1990 pour s’installer avec sa sœur sur les bords du fleuve, a profité de sa retraite pour se replonger dans deux vieux manuscrits ayant trouvé preneur au sein des éditions La Grande Marée, localisées au Nouveau-Brunswick, à Tracadie.

« La maison du vieux Tom Â», paru l’année dernière, raconte l’histoire d’une femme de 40 ans confrontée à un bouleversement dans sa vie conjugale qui la pousse à rompre les amarres pour renouer avec une fibre artistique étouffée jusque-là. Le texte lui a valu de figurer parmi les trois romancières finalistes cette année du prix France-Acadie, une récompense créée il y a 40 ans par l’association française Amitiés France-Acadie, ayant pour objectif de renforcer les liens culturels et amicaux entre l’Acadie et la France. Plusieurs semaines après l’annonce de la lauréate, cette dernière recevra son prix directement à Paris, où elle aura l’occasion de présenter son livre.

« Je ne m’y attendais pas du tout ! C’est une grande fierté de pouvoir figurer parmi les trois finalistes et d’avoir la chance de retourner peut-être à Paris, où j’ai déjà vécu pendant un an dans les années 1970 Â», s’est réjouie l’auteure de Matane-sur-Mer, dans les yeux bruns de laquelle, à l’évocation de la littérature, se lit un véritable amour des mots. « J’aime les mots pour leur sonorité, leur poésie. Je ne pourrais jamais me passer des livres. C’est comme de la nourriture pour moi Â», a-t-elle souligné, en remerciant sa sÅ“ur pour son soutien de tous les jours, occupant le rôle de première lectrice.

Un deuxième roman publié          

Le vendredi 27 septembre, lors d’un 5 à 7 organisé au salon de dégustation de La Fabrique, à Matane, dans le cadre des Journées de la culture, la romancière présentera sa nouvelle publication, « Les enfants d’Azar Â», un conte fantastique transportant le lecteur sur les planètes d’Azar, Thor, Xhur et Zaher, où les déportés de la Terre sont amenés à vivre une rédemption.

« Je voulais dénoncer dans ce texte l’appât du pouvoir et de l’argent. C’est une histoire que j’avais écrite à une époque où j’avais besoin d’espoir. Les personnages se sont imposés à moi naturellement Â», a-t-elle expliqué, en ajoutant que son prochain roman « Céline G… ou l’histoire de tant d’autres femmes Â», devrait traiter du drame des filles-mères, avant qu’elle et sa sÅ“ur, par ailleurs artiste peintre, ne se plongent dans l’écriture d’un livre à quatre mains.

Après avoir exercé son métier d’infirmière à Sherbrooke, ayant aussi étudié le théâtre et la littérature, la Matanaise aura dû patienter jusqu’à sa retraite pour pouvoir enfin réaliser son rêve de devenir écrivaine à temps complet et permettre à toute l’énergie spirituelle qui l’habite de trouver son expression la plus accomplie dans l’écriture.

Les Enfants d'Azar: Bienvenue
Jetty

Pourquoi publier un ouvrage comme : Les Enfants d’Azar ?


Alors, en voici les raisons :

Tout d’abord, parce que c’est un texte qu’il m’a été nécessaire d’écrire pour me réconcilier avec la vie ou plutôt, d’accepter de vivre dans un monde sans valeur, un monde égocentrique, un monde où les défauts et les vices sont plus bénéfiques que l’honnêteté.

Cet ouvrage m’a donné raison de continuer à prôner l’amour et la tolérance, accepter les différences et tenter de comprendre avant de juger, de rejeter ou d’ignorer.

J’avais besoin de la beauté de ces Êtres venus d’ailleurs, de leur conscience, de leur générosité et de leur détermination à sauver notre monde.

Et pourquoi nous, dans notre quotidien, notre travail de tous les jours, dans nos relations avec les gens qui nous entourent, n’arriverions-nous pas, par nos paroles et nos actions à apporter ce changement, ou du moins à l’espérer.  Mon roman : Les Enfants d’Azar est ma contribution à ce changement.

Les commentaires qui me viennent des proches qui ont voulu être mes premiers lecteurs, en cours de correction, sont identiques :

Après avoir lu ce roman, j’avais besoin de me sentir meilleur et de faire partie intégrante avec ces Enfants d’Azar. Si cela devait se produire et que nous soyons emportés, hommes, femmes, enfants et toute la création terrestre,   c’est sur cette planète que je voudrais me retrouver et participé à ce nouveau monde.

Alors je crois que nous avons tous besoin d’un petit coup de main sur cette planète terre, pour évoluer et grandir dans la conscience. 

Votre participation à sauver notre monde serait de lire : Les Enfants d'Azar et voir ce que vous pourriez faire pour participer à ce monde meilleur que nous nous voulons .

À l’avance, je vous remercie et bon voyage.

Les Enfants d'Azar: Dernière parution

Article paru dans le journal L'Info-lien de Frédéricton

Chronique lecture, par Cathy Verreault, autrice
Une critique du roman fantastique : Les Enfants d'Azar, par l'autrice Lise Tapp

Je viens tout juste de terminer ce livre écrit par une autrice de Matane, ma région natale. Lise Tapp, infirmière de formation, nous envoûte dans ce récit fantastique.
Cette histoire nous transporte sur une planète, Azar, où tous les Terriens qui vivaient une vie en harmonie avec la nature et de bonne foi, ont été transportés pour être sauvés. La Terre n’est plus habitable, pollution, terrorisme, etc. (en fait, comme on la connaît aujourd’hui, malheureusement). Les Azariens doivent apprendre à se refaire une vie dans un petit paradis où tout est possible. Ils font apparaître tout ce dont ils ont besoin, nourriture, vêtements, maison, etc. Avec ce pouvoir vient l’obligation d’établir des lois et règlements. Des aînés sont nommés leaders et forment une nouvelle société pure d’intention. Cette histoire nous fait rêver. Et si tout ceci était possible? Que nous, les Terriens, aurions une place au paradis qui nous donnerait la chance de refaire un monde avec tout le bagage de connaissances que nous avons acquises afin d’éviter les pires désastres humanitaires. Un environnement pur, sans pollution, sécuritaire sans criminel, car aucun être malveillant n’a pu être transportés sur Azar. Tout le monde a la même intention, créer un monde meilleur et vivre en respect avec la nature. Une mission leur est cependant donnée et c’est un peu le «punch» du livre. Moi qui aime lire des romans fantastiques, j’ai été choyée! Lise s’est complètement abandonnée à la création sans restriction. C’est ce que j’aime du fantastique. Le mode création est à son maximum, le tout dans le but de faire rêver les lecteurs. Je me suis totalement abandonnée aux plaisirs des mots en me disant: et si tout ça était possible? Ça ne coûte rien de rêver

Les Enfants d'Azar: À propos
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